Née le 10 mars 1989 à Paris, Azelma SIGAUX a grandi dans une famille d'artistes et de personnes engagées, pour la justice sociale mais également pour l'écologie et la défense du Vivant. Du côté de son père : la troupe fondatrice du théâtre du Café de la Gare, lieu mythique construit notamment par Coluche, Romain Bouteille et Sotha, sa tante. C'est donc dans cet état d'esprit libertaire qu'Azelma s'est forgé ses propres convictions, déjà révoltée par les absurdités humaines alors qu'elle était adolescente. Elle a également été bercée dans un univers littéraire, son grand-père, Gilbert Sigaux, étant écrivain, son père, auteur et comédien.
En 2012, elle écrit son premier roman. Puis elle continue d'écrire des récits imaginaires, dans un style fantastique, science-fiction, dystopique. L'occasion pour elle de pointer les folies de ce monde tout en utilisant la fiction comme un moyen de rester libre. Elle poursuit sa carrière d'écrivaine entre ouvrages politiques, essais et récits, inspirée par des auteurs tels que Marcel Aymé, Orson Scott Card ou encore Mark Wersinger. Publiée dès 2017, elle signe différents contrats d'édition et participe à de nombreux salons du livre.
En parallèle, Azelma SIGAUX construit naturellement son parcours militant. Face aux désastres écologiques et humains, elle ne peut rester silencieuse. C'est ainsi que parmi ses combats, elle soutiendra la communauté tibétaine, peuple colonisé et torturé, mais aussi la cause animale et le mouvement des Gilets Jaunes. Elle a notamment été porte-parole d'un collectif animaliste (Animalistes 43) et a activement oeuvré pour des combats écologistes, antispécistes et démocratiques. Une autre de ses luttes est celle de la convergence des militants, sur un objectif commun : une révolution vers un monde plus juste et respectueux de la nature.
Entre conférences publiques, interventions médiatiques, actions militantes, rédaction d'articles de presse et écriture d'ouvrages, Azelma SIGAUX tente, à son échelle et à sa façon, de fédérer et agir pour le bien collectif.